C’est une huile pour moto 4 temps

Une huile moto 4 temps, au cas où vous l’ignorez, joue plusieurs rôles. Ses différentes actions sont fondamentales pour le moteur, car elles lui permettent de fonctionner normalement. Primo, l’huile ralentit son usure. Dans le même temps, elle accroît son rendement. Secundo, elle régule sa température en bloquant la hausse de cette dernière (mécanisme de refroidissement). Tertio, elle le protège de l’oxydation tout en contribuant fortement à son nettoyage. Pour le moteur à 4 temps, l’huile n’est donc pas seulement qu’un lubrifiant. Elle exerce aussi 3 autres fonctions fondamentales pour la performance et la longévité du moteur.

C’est une huile extraordinaire

En quoi l’huile moto 10w40 est-elle une petite pépite ? Il suffit de passer en revue une partie de toutes ses spécificités pour s’en convaincre. Ce que l’on pourrait retenir en particulier, c’est que cette huile moto 10w40 possède un remarquable pouvoir lubrifiant. En outre, elle offre au moteur une triple protection. On peut également mentionner le fait que le démarrage à froid n’entraîne pas l’usure du moteur si celui-ci renferme de l’huile 10w40. On précisera aussi que les températures extrêmes n’ont aucun impact négatif sur les moteurs dans lesquels cette huile spéciale aura été injectée. Autre point à savoir, il s’agit d’une huile qui déclenche une stabilité thermique incomparable. Dans le même temps, elle s’érige en un bouclier efficace contre les frictions. Enfin, il est à remarquer que l’huile 10w40 se décline en diverses références : XTC C60, XTM, XTM scooter. Si vous ne savez pas quelle référence choisir, le conseiller client d’un site de ventes pourrait vous aider.

Adopter une conduite « moins polluante »

En fait de pollution, on reproche à la moto tant l’agression de la couche d’ozone que l’agression de la tranquillité des piétons et autres usagers de la route. Elle gêne par le bruit qu’elle fait autant que par le gaz qui sort de son pot d’échappement. Alors pour éviter les bruits et les odeurs indésirables, faites attention à votre mécanique. Une moto bien entretenue consomme moins et donc pollue moins. Lors de la conduite, il est inutile de la faire ronfler plus que nécessaire en accélérant inutilement. Restez stable dans la vitesse. Les nuisances sonores seront évitées. Et, autant pour le bien de l’environnement que pour celui de votre portefeuille, évitez tout geste qui conduirait à consommer plus de carburant que nécessaire. En fait la moto a un atout majeur : elle se faufile. Elle n’est pas bloquée dans les bouchons et se gare facilement. Le temps de trajet économisé est un gain en faveur de l’environnement.

Opter pour une moto plus écolo

Des chercheurs ont mis au point un carburant bio : à base d’huiles d’algues. Poussée à l’extrême, cette idée de moto bio a donné naissance à un invraisemblable chef d’œuvre : une moto entièrement écolo en bois pour la plus grande partie. Ce modèle, soyons réalistes, mettra des années avant d’être commercialisé. Bien qu’elle fonctionne, son design risque de ne pas convaincre. Alors un autre modèle est proposé : une moto qui ne laisse filtrer aucune émission de gaz. Elle est équipée de deux roues motrices, et même toutes les lumières ont été pensées pour protéger l’environnement. En effet, toutes les sources de lumière sont des LED. Cette moto a en plus un design futuriste et élégant.

Un début précoce en PW50

Née le 11 février 1988 à Saint-Denis, cette jeune française a su trouver sa place dans le monde du motocross en tant que femme pilote. Elle a reçu sa première PW50 à l’âge de 4 ans, qui est à l’origine de sa carrière. Entre 1992 et 1996, après le jardin de son papy, elle commence sa première course de club sur 50cc, puis sur du 60cc quelques années plus tard. Sa participation au championnat de la ligue Ile de France et Picardie lui a valu son titre FFM et Ufolep.

Son parcours entre le 60cc et le 125cc

Entre 1996 et 2001, elle commence un tour au Championnat Minivert sur du 60cc. En passant au 80cc éducatif, elle y est sacrée championne de ligue et décide d’augmenter en 125cc à l’âge de 14 ans. De 2002 à 2005, le 125cc lui fait progresser dans la course. Elle ne finit pas dans les meilleures places dans le Championnat de France junior, mais elle reprend du poil de la bête et se hisse à la 3e place lors de la coupe du monde féminine en Suède vers la fin 2005.

Plusieurs victoire en quelques années

Entre 2006 et 2009, elle passe par des hauts et des bas avec LE 250cc : team GPKR en 2007, elle se fracture la clavicule, mais elle gagne quand même le Trophée de France Féminin en 2008 pour finir blessée en 2009. Elle reprend en 2010 en KTM et collectionne les trophées dans les championnats. Son dernier titre étant celui de championne de France 2016 et championne du monde en WMX 2016.

Une année qui s’annonce prometteuse

 
 
Comme chaque année, le meeting « Friends of Claudio » a été rythmé par des annonces-surprises de la part des opérateurs. Durant l’édition 2015, la surprise est venue de MV Agusta qui a annoncé la mise au point d’un nouveau moteur et le développement de trois modèles pour 2016. Ce nouveau chef-d’œuvre devrait permettre au constructeur de perturber la domination de BMW. Ce dernier devrait d’ailleurs répondre rapidement avec un nouveau modèle ce qui présage une année 2016 particulièrement intéressante pour les amateurs du genre.
 
En tout cas, MV Agusta a fait sensation avec cette annonce et devrait attirer une forte attention durant les premiers mois de l’année prochaine. Espérons que les résultats seront à la hauteur de l’attente et du suspens.
 
 

Les 3 nouveaux modèles

 
 
Bien entendu, MV Agusta a pris soin de ne rien dévoiler sur les 3 modèles qui recevront le nouveau moteur. En tout cas, les observateurs s’attendent à ce que la première à en bénéficier soit la F4. Certains misent aussi sur le lancement d’un nouveau roadster et d’un trail. Ce dernier devrait d’ailleurs entrer en concurrence directe avec la BMW S 1000 XR. Il faudra attendre le mois de novembre au cours de l’EICMA pour avoir des précisions sur les 3 modèles qui recevront le nouveau moteur de MV Agusta.
 
 

Choisissez un casque sur mesures

 
 
Comme dit précédemment, le casque ne doit pas être trop large. Sinon, il peut bouger pendant que vous êtes aux guidons de votre moto ce qui peut entraîner un accident mortel. En revanche, il ne doit pas non plus être trop serré. Si vous optez pour un casque qui est visiblement trop petit pour les dimensions de votre tête, vous risquez de souffrir atrocement lors de vos sessions de conduite. Sans parler des dangers au niveau de la circulation du sang… Ainsi, le casque idéal doit se marier avec les contours de votre tête, mais vous devez pouvoir glisser deux doigts entre celui-ci et votre cou. Pour mettre la main sur un casque, il va de soi que vous devrez l’acheter dans une « vraie » boutique. Tous les motards dignes de ce nom vous déconseilleront de vous procurer un casque en ligne. Enfin, pensez toujours à acquérir un modèle homologué. Pour reconnaître les casques homologués, il vous suffit de vérifier s’ils présentent une étiquette verte ou blanche à l’intérieur ou sur la jugulaire.
 

Les détails techniques

 
 
Pour le choix de votre écran, optez toujours pour le translucide et abandonnez le fumé. Quant aux jugulaires, il est recommandé de vous tourner vers le velours pour son confort et sa longévité. Enfin, sachez que vous devez accorder une attention particulière à la ventilation de votre casque. Vérifiez toujours que des trous ont bien été placés derrière les niveaux de ventilation de votre casque.